Le fou de Bassan
Posté le 18/11/2024 dans Actualités d'ici et d'ailleurs, News Diaporama en Page d'Accueil par Hugo Perez.
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Posté le 18/11/2024 dans Actualités d'ici et d'ailleurs, News Diaporama en Page d'Accueil par Hugo Perez.
Posté le dans Centre de soins, News Diaporama en Page d'Accueil par Hugo Perez.
Rapaces diurnes : 14 – Buse variable : 3 Rapaces nocturnes : 12 – Chouette hulotte : 8 Oiseaux marins : 2 – Fou de Bassan : 2 Mammifères : 69 – Hérisson d’Europe : 64 Echassier / Anatidés / Limicoles : 1 – Héron gardeboeufs : 1 Amphibiens : 2 – Crapaud commun : 1 Oiseaux divers : 69 – Bécasse des bois : 1
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Mammifères : 40
– Hérisson d’Europe : 31 Oiseaux divers : 17 – Fauvette tête noire : 1 Rapaces diurnes : 15 – Buse variable : 1 Rapaces nocturnes : 4 – Chouette hulotte : 2 Echassiers / Anatidés : 2 – Cigogne blanche : 1 Amphibiens : 2 – Crapaud commun : 1
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Posté le 19/10/2024 dans Actualités d'ici et d'ailleurs, News Diaporama en Page d'Accueil par Hugo Perez.
L’automne fait son grand retour en ce dimanche 22 septembre. C’est l’occasion pour des millions d’oiseaux de quitter leur lieu-dit de reproduction, pour se rendre dans leur zone d’hivernage. Ce phénomène est provoqué par une hormone, c’est celle de la mélatonine. Elle est présente dans chaque espèce migratrice. Ce voyage est long pour certains oiseaux, ils doivent prévoir leur stock de graisse, des arrêts, mais aussi faire face aux différents dangers qui les attendent…
Selon l’espèce, la migration diverge : le voyage sera plus ou moins long et nécessitera des besoins divers et variés. On peut répartir les oiseaux en différentes catégories.
Les planeurs profitent des courants d’air chaud pour atteindre leur objectif sans faire de gros efforts. On parle de vol à voile. Cependant, ils ne peuvent réaliser cela que de jour, au dessus de la terre car ce qu’on nomme les ascendances thermiques, ne sont pas présentes sur l’eau. Pour survoler la mer, ces oiseaux se frayent un passage sur des parties étroites comme les détroits, où leur énergie est mise à rude épreuve.
Certaines espèces pratiquent le vol battu. Contrairement au vol à voile, ce type de migration demande une réserve en graisse en amont, assez importante. Ces oiseaux devront également s’arrêter pendant leur vol pour recharger ce stock. D’autres espèces font ce qu’on nomme le vol en V. Cette formation permet aux oiseaux situés derrière un autre oiseau, de pouvoir économiser de son énergie. Mais aussi, le fait de migrer en famille permet de limiter les risques de prédation et d’atteindre, pour la nouvelle génération, le lieu d’arrivée plus rapidement car les adultes passent par les voies les plus courtes.
Puis, on retrouve les grands oiseaux de mer qui surfent sur les mouvements de vagues provoqués par les masses d’air, sans fournir trop d’efforts. Pendant leur migration, les oiseaux doivent faire face à de multiples dangers. Il y a ceux qui sont dits naturels : cela concerne surtout la prédation qui est la première cause de mortalité. Mais aussi, il y a les tempêtes ou les vents qui déportent les oiseaux au large, en leur demandant de fournir plus d’efforts. Puis, il y a les mers, les montagnes et les déserts qui font office de barrières.
Ensuite, il y a les dangers anthropiques qui sont liés à la création humaine. Avec le changement climatique, les oiseaux subissent une modification de leur habitat. Cela impacte la qualité de leurs haltes migratoires qui sont importantes pour recharger leur réserve de graisse. Les installations lumineuses, électriques et éoliennes provoquent aussi des collisions et des électrocutions mortelles.
Pourquoi migrer ?
Les oiseaux migrateurs partent dans leur zone d’hivernage non pas par manque de chaleur, mais bel et bien par manque de nourriture. Les proies, tout comme les végétaux se font plus rares à ce moment. C’est le cas des hirondelles, qui ne trouvent plus assez d’insectes. De plus, certaines régions poussent les oiseaux d’eau à migrer à cause du gel des zones humides et des chutes de neige.
Vers où migrer ?
Selon les espèces migratrices, la destination finale n’est pas la même. Par exemple, les insectivores qui nichent en Europe vont migrer en dessous de la bande saharienne pour se réfugier dans les forêts tropicales et dans la savane. D’autres espèces adaptent leur voyage en fonction du lieu de reproduction. On parle alors de migration totale ou bien de migration partielle (trajet court).
Posté le dans Actualités d'ici et d'ailleurs, News Diaporama en Page d'Accueil par Hugo Perez.
Cette année 2024 n’a pas été une année de tout repos pour notre centre. Nous avons dû faire face à un manque financier assez conséquent qui pouvait mettre en péril notre stabilité. Par manque de moyens, des décisions difficiles auraient pu être prises, allant de l’arrêt d’accueil de certaines espèces à la fermeture totale du centre, au détriment de ses pensionnaires et des salariés.
Toutefois, par votre force et votre soutien, notre objectif a pu être atteint bien avant la fin de l’année 2024 ! C’est grâce à votre réactivité sur les réseaux ainsi qu’à la générosité de vos dons, à petite comme à grande échelle, que ce montant a été dépassé. Nous sommes actuellement à 42 157€.
Grâce à vous, le centre continue de tourner comme il faut, pour la plus grande joie de notre équipe et des animaux.
Merci encore de votre précieux soutien depuis toutes ces années.
Posté le 08/10/2024 dans Centre de soins, News Diaporama en Page d'Accueil par Hugo Perez.
Rapaces diurnes : 15 – Buse variable : 2 Rapaces nocturnes : 8 – Chouette hulotte : 4 Oiseaux marins : 12 – Goéland brun : 1 Mammifères : 80 – Campagnol des champs : 1 Echassier / Anatidés / Limicoles : 13 – Cigogne blanche :3 Oiseaux divers : 69 – Caille des blés : 1
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Mammifères : 29 – Belette d’Europe : 1 Oiseaux divers : 23 – Corneille noire : 1 Rapaces diurnes : 13 – Buse variable : 1 Rapaces nocturnes : 8 – Chouette chevêche : 6 Oiseaux marins : 6 – Goéland leucophée : 2
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Posté le 07/08/2024 dans Centre de soins, News Diaporama en Page d'Accueil, Non classé par Hugo Perez.
Accueil d’un Fulmar boréal
Rapaces diurnes : 30 – Autour des palombes : 1 Rapaces nocturnes : 11 – Chevêche d’Athéna : 2 Oiseaux marins : 12 – Fou de Bassan : 1 Mammifères : 101 – Ecureuil roux : 2 Reptiles / Amphibiens : 2 – Cistude d’Europe : 1 Echassier / Anatidés / Limicoles : 13 – Canard colvert : 6 Oiseaux divers : 262 – Bergeronette grise : 1
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Mammifères : 31 – Hérissons d’Europe : 28 Oiseaux divers : 120 – Bergeronette grise : 2 Rapaces diurnes : 34 – Buse variable : 8 Rapaces nocturnes : 4 – Chouette hulotte : 3 Anatidés/Limicoles/Echassiers : 2 – Canard colvert : 8
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Posté le 28/05/2024 dans Evènements, News Diaporama en Page d'Accueil par Hugo Perez.
On se donnez rendez vous dimanche toute la journée à la Fête du bois Guilhou à Boucau ! Nous tiendrons un stand jusqu’à 16h45, puis ce sera une remise en liberté d’un rapace soigné au centre de soins !
Le vendredi, samedi et dimanche :
Posté le 15/05/2024 dans Centre de soins, News Diaporama en Page d'Accueil, Non classé par Hugo Perez.
Accueil d’une Tortue Caouanne au centre de soins
Rapaces diurnes : 8 – Buse variable : 1 Rapaces nocturnes : 15 – Chouettes hulottes : 12 Oiseaux marins : 9 – Fou de Bassan : 1 Mammifères : 82 – Belette d’Europe : 1 Reptiles / Amphibiens : 1 – Tortue Caouanne : 1 Echassier / Anatidés : 3 – Canards colverts : 3 Oiseaux divers : 73 – Etourneau sansonnet : 1
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Mammifères : 17 – Hérissons d’Europe : 8 Oiseaux divers : 15 – Corneille noire : 1 Rapaces diurnes : 2 – Epervier d’Europe : 1 Anatidés/Limicoles : 2 – Oedicnème criard : 1
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Posté le dans Actualités d'ici et d'ailleurs, News Diaporama en Page d'Accueil par Hugo Perez.
L’imprégnation aussi appelée « empreinte » est un processus d’attachement social chez de nombreux animaux et se produit majoritairement chez les petits. Elle se fait au cours d’une période sensible, qui varie en fonction des espèces. Ce phénomène n’est pas irréversible mais reste indélébile.
L’imprégnation se fait de différentes façons selon les animaux :
Toutes ces conséquences amènent les animaux imprégnés a ne plus savoir se débrouiller, un animal imprégné n’est donc plus viable à l’état sauvage.
C’est pour cela que le rôle des centres de soins est important. En effet, des milliers d’animaux passent entre les mains des soigneurs faunes sauvages, sur des plus ou moins longues périodes et pour des dizaines d’espèces différentes : des mammifères, des rapaces nocturnes, diurnes etc…
Il est donc primordial pour nous d’adapter nos différentes techniques de soins et de réhabilitation pour éviter toute imprégnation de nos petits protégés. Par exemple, un vautour imprégné se rapprocherait de l’humain lors de son retour à la nature, ce qui serait préjudiciable pour lui. Un comportement comme cela engendre un danger pour l’animal et pour les populations humaines du secteur.
Nous réduisons les contacts un maximum de l’entrée jusqu’à la remise en liberté de l’animal : pas de caresses, de mot doux, de petits noms etc…
Les animaux sont donc mis à l’écart pour éviter de nous voir, de nous entendre.
Les passages entre les volières sont réduit au strict minimum, les nourrissages effectués plus rapidement possible, des brises vues sont placés sur les ouvertures de volières…
Des tenues particulières sont utilisées pour certaines mammifères comme les renards, pour “casser” la bipédie humaine qui est reconnaissable dans le règne animal, éviter qu’ils s’habituent à notre odeur.
Il ne faut donc pas s’improviser soigneur ! En cas de découverte d’un animal en détresse, il est impératif et obligatoire de faire appel à un centre de soins pour bénéficier de conseils précieux et de le transférer au plus vite vers la structure la plus proche !